Catégorie  Psycho-miroir

discussion sur le travail de l’auteur pour apporter un éclairage sous forme de conversation sur le ressenti de l’auteur

L’inévitable destinée

Texte alternatif : Un auteur de science-fiction, vêtu d’un costume sombre et fumant une pipe, rédige avec une plume ancienne devant un grand sablier dont le sable se répand sur ses documents, symbolisant le temps qui s’écoule. | A SF novelist, dressed in a dark suit and smoking a pipe, writes with an old-fashioned quill in front of a large hourglass spilling sand onto his papers, symbolizing the passing of time.

Robert — Parlons de l’inévitable destinée.Laurent — Pourquoi le sujet t’intéresse ?Robert — C’est un aspect central de ton projet d’écriture, qui contrebalance le libre arbitre.Laurent — Oui. Je l’exprimerais ainsi : comme deux géants de même force se combattant…

Rendre à César ce qui est à César

L’auteur travaille sur la création de personnages et de métiers pour ses récits | The author works on creating characters and professions for his stories

Entretien avec Robert, le psycho-miroir Robert : Je suis bien placé pour t’observer. Et j’ai remarqué que tu as pour habitude de citer tes sources. Laurent : Effectivement, c’est une habitude que j’ai depuis toujours, je crois. Robert : Je dirais même que…

Rencontre avec Robert, le psycho-miroir

Un auteur de science-fiction en costume sombre se tient devant un miroir. Dans son reflet, il apparaît détendu, vêtu d’une chemise hawaïenne et de shorts, comme en vacances sur une plage. La scène illustre le contraste entre la rigueur professionnelle et l’évasion imaginaire.|A SF novelist in a dark suit stands before a mirror. In his reflection, he appears relaxed, wearing a Hawaiian shirt and shorts, as if on holiday at the beach. The scene highlights the contrast between professional rigor and imaginative escape

Comme à l’accoutumée, mon réveil sonne à sept heures du matin. Cela fait déjà cinq minutes qu’il vibre. Et si, pour une fois, on m’amenait un café fumant au lit… Je peux toujours rêver. Debout, je me traîne jusqu’à la…